mercredi 30 janvier 2008
" La jeune dessinatrice restitue cette violence sans passion, mais cette distance rend d’autant mieux à chaque fait sa portée agressive. Tout comme sa palette de couleurs franches, sans chichis. L’herbe est bien verte et le soleil bleu. Et alors ? La désagrégation des liens, la dilution des sentiments prospèrent aussi bien au soleil. " Fabrice Piault, LIVRES HEBDO